[VIDEO] Un entretien sans filtre avec Boris Chenaud, candidat aux élections départementales sur le canton de Montpellier-2, sous les couleurs du « Printemps Héraultais » (EELV, LFI, Génération.s, Ensemble, PG et GDS)
Lancé officiellement en avril dernier, le Printemps Héraultais regroupe des militants d’EELV, de LFI, d’Ensemble 34, de Génération.s, du PG et de GDS. Comment s’est formée cette alliance des forces de l’écologie politique et de la Gauche radicale ?
Sur le canton Montpellier-2, Boris Chenaud avec Adélie Romazzotti-Di Malta, fait face à vous 7 binômes, dont celui de la conseillère sortante Garbrielle Henry. Quel bilan tire-t-il de l’action du Département sur l’ancien canton de Michaël Delafosse ?
Le rassemblement propose 10 grandes mesures, parmi lesquelles : la création d’une assemblée citoyenne départementale, la mise en place de référendum local d’initiative citoyenne, la création de « maisons de santé », la généralisation du bio local dans les collèges, ou encore une politique d’acquisition de terres pour installer de jeunes agriculteurs. Quelle majorité pourrait porter un tel programme ? Comment cela serait-il réalisable dans les limites de l’exercice budgétaire ? Si l’ensemble des candidats du Printemps Héraultais ne sont pas élus, ceux-ci se joindront-ils à une majorité, quelle qu’elle soit, ou siégeront-ils dans l’opposition ?
Si le 27 juin 2021, le rassemblement porté par Le Printemps Héraultais l’emporte, quelles seront ses mesures sur les six premiers mois, comment sera le Département au bout de deux ans ? En 2027, quelles seront ses grandes réalisations ?
Au sommaire de ce numéro : Huit listes pour un seul canton, pour un seul logo, un programme pour faire durer le printemps, et la bascule du Département (?)
