Le collectif citoyen, qui a lancé sa plateforme de candidature en ligne, en juin dernier, organisait, jeudi 5 septembre 2019, une conférence de presse devant le Pavillon Populaire, « lieu historique des luttes sociales et vigneronnes ».
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Une occasion pour les deux porte-paroles du mouvement montpelliérain, Alenka Doulain et Cathy Aberdam, de faire un état des lieux du travail accompli ces 12 derniers mois, et de présenter les prochaines étapes du mouvement.
Conférence de presse de @NousSommesMtp à #Montpellier : « inventer une autre façon de faire », « dans le cadre du mouvement municipaliste ». « Il y a urgence à s’organiser », pour « changer le logiciel de la manière de faire de la politique ». pic.twitter.com/G0d6I6bmBl
— le mouvement (@lemouvementinfo) September 5, 2019
Lancé en septembre 2018, le collectif citoyen, entend « changer le logiciel de la manière de faire de la politique » à Montpellier. Cathy Aberdam, l’une des porte-paroles affirmant même, malicieusement, « nous sommes la voie démocratique ».
Le collectif, composé d’une quarantaine de militants actifs et de plusieurs centaines de sympathisants entend, alors que les élections municipales de mars 2020 approchent, « créer un autre imaginaire » et « imaginer une autre Ville ». Il organisera sa première Agora de rentrée le 19 septembre prochain, il devrait alors présenter 14 mesures approfondies pour Montpellier.
À la recherche de la « confluence des forces politiques »
Les porte-paroles l’ont réaffirmé, ce jeudi, ils espèrent construire pour les prochaines élections municipales une « confluence des forces politiques » autour de la « seule réelle liste citoyenne ». Ils l’assurent, ce sera la « faute aux partis, si nous échouons en mars 2020 ».
#Montpellier : @NousSommesMtp fait sa rentrée avec "une main tendue aux militants et aux partis politiques".
Interview d'Alenka Doulain, porte parole.https://t.co/dGxETtcfHO— le mouvement (@lemouvementinfo) September 5, 2019
Le collectif à déjà rencontré des représentants, du Parti communiste, des groupes d’action de La France insoumise, de Génération.s et d’EELV. Il n’a pas souhaité rencontrer le candidat socialiste Michaël Delafosse, dont « le discours et les actes ne sont pas en adéquation avec l’ADN de #NousSommes ».
