Confidences de Vincent Crase sur le 1er Mai et Alexandre Benalla, un an après ? Crase est auteur maintenant, il écrit. BFM revient avec lui sur les faits de la Contrescarpe, les polémiques, et les poursuites judiciaires qui ont suivi.
« On n’y va pas pour castagner […] on y va pour observer, comprendre, apprendre… » tente d’expliquer Vincent Crase. Cet ancien professeur, ancien employé de compagnie d’assurance, ancien détective privé et réserviste de gendarmerie semble encore ému par sa période de chargé de mission à l’Élysée.
Voir aussi : Macron, la déclaration d’un homme seul
💬 "On n'y va pas pour castagner, on y va pour observer et comprendre"
Vincent Crase se confie sur ses actes lors du 1er-Mai ⤵ pic.twitter.com/pXrYOmB6AX
— BFMTV (@BFMTV) July 18, 2019
Juillet 2018, Le Monde rend publique une vidéo qui montre Alexandre Benalla et Vincent Crase, place de la Contrescarpe dans le Ve arrondissement de Paris. Les deux hommes participent à l’interpellation d’un couple de manifestants. Mais hors de toute légalité, ces interpellations violentes seront le début de l’affaire Benalla. Images qui sont sans appel pour Alexandre Benalla comme pour Vincent Crase, excités par un goût déplacé de la notion d’ordre. Un an après, les mots voudraient ré-écrire le réel : « On n’y va pas pour castagner […] on y va pour observer, comprendre, apprendre… »