C’est à partir d’aujourd’hui mardi 1er septembre, que les citoyens doivent travailler masqués. La possible résurgence de l’épidémie de Covid-19 doit être stoppée sans reconfinement. Alors, avançons masqués !
Rouge, orange, verte, à chacun sa zone
Rouge : c’est possible de ne pas porter continuellement un masque dans les bureaux qui utilisent une ventilation, et où chaque salarié dispose de son espace de 4 m2.
Orange : on peut, ne pas porter de masque en permanence, dans des locaux disposant d’un grand volume avec extraction d’air de haute qualité.
Verte : pas de masque avec un espace de travail qui possède ventilation et écrans de protection entre chaque poste. À noter : des visières doivent être mises à la disposition des salariés.
Élisabeth Borne ministre du Travail a adapté ce nouvel usage du masque, en fonction du niveau d’alerte de chaque département et des conditions de travail des employés. À voir dans son tweet, pour plus de précisions.
#COVID19 | Se protéger du virus en entreprise, c’est protéger ses collègues et ses proches.
Le nouveau protocole national pour assurer la santé et la sécurité des salariés en entreprise face à l’épidémie de #COVID19 est publié.
➡️ Pour le consulter : https://t.co/M6DYmqLAX9
— Elisabeth BORNE (@Elisabeth_Borne) August 31, 2020
Ne pas porter de masque, c’est possible
Le salarié doit être seul dans son bureau. Pour le travail en extérieur, le port du masque est utile en cas de regroupement ou bien si la distance d’un mètre ne peut être respectée.
À l’étude semble-t-il : Pour les activités qui s’avéreraient incompatibles avec le port du masque (par exemple, pour des interventions orales ou des prises de parole publiques limitées dans le temps, dans les espaces clos respectant les mesures organisationnelles définies), le ministère poursuit le dialogue avec les partenaires sociaux pour suivre cette mise en œuvre et définir des solutions.
Autonomie : Les entreprises sont encouragées, dans le cadre du dialogue social, à préciser les modalités d’application du protocole et la prise en compte des situations particulières d’activité.