Inauguration de la permanence de campagne de Daniel Richard (©Illustration / Daniel Ricard / Twitter)

Le dévoilement de la liste « Nîmes, une ville nommée Désir » continue. Lundi, Daniel Richard a dévoilé, 32 nouveaux noms de sa liste et présenté la partie de son programme, concernant la réponse « à l’urgence écologique ».

Parmi ces nouveaux venus, des membres de La France insoumise, du PS, d’EELV, de Génération Ecologie, du PRG, de la France Insoumise et de la société civile.

On retrouve aussi des figures de la politique nîmoise, comme le conseiller municipal sortant et ancien maire adjoint de la municipalité Clary, entre 1995 et 2001, Alain Fabre-Pujol (11e place) ou la conseillère municipale et communautaire sortante d’opposition, Catherine Bernié-Boissard (24e place).

« Dès notre arrivée à la mairie de Nîmes et à la tête de Nîmes-Métropole, nous mettrons résolument en œuvre la transformation écologique de la ville et de son agglomération »

Afin de répondre aux urgences environnementale, sociale et économique qui cernent la cité des Antonins, le candidat écologiste, sans étiquette, souhaite « faire de Nîmes et de son agglomération la 1re grande ville de France à produire plus d’énergie qu’elle n’en consomme », mais aussi, « redonner aux Nîmoises et aux Nîmois la maîtrise de leur ressource en eau et de la dépollution des eaux usées », tout en allant « vers une ville « zéro déchet » », « reverdir et rafraîchir la ville », « prévenir les risques naturels et technologiques », « renouer avec le vivant, préserver la biodiversité » et « dépolluer l’environnement et maîtriser la toxicité ».

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