Acte 23 de la mobilisation des Gilets Jaunes ce samedi, l’État mobilise 60 000 policiers et gendarmes, partout en France. Pour Christophe Castaner, ministre de l’Intérieur : « les casseurs seront à nouveau au rendez-vous » à Paris, Toulouse, Bordeaux et Montpellier.
Toujours selon le ministre de l’Intérieur, ces manifestants violents souhaitent « reproduire le 16 mars », un acte 18 qui avait été marqué par des scènes de casse et de pillage de commerces, notamment sur l’avenue des Champs-Élysées, à Paris : jour où le Fouquet’s avait été incendié.
On peut s’attendre à ce que samedi les ultras cherchent
une fois de plus à créer le trouble, à s’organiser en black blocs
pour se livrer à la violence – qui est leur seul horizon et leur seul point commun.
À nouveau, la menace est sérieuse et appelle un dispositif renforcé. pic.twitter.com/dJydW5kxnQ— Christophe Castaner (@CCastaner) April 19, 2019
Cet acte baptisé par certains groupes « ultimatum 2 », se voudrait être une suite de « l’ultimatum 1 », et le ministre de l’Intérieur précise : « les ultras cherchent une fois de plus à créer le trouble, à s’organiser en black blocs pour se livrer à la violence. »