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Après 264 départs volontaires en 2019, General Electric va encore supprimer près de 300 postes en France au sein de son entité spécialisée dans l’activité nucléaire et énergétique.

Dans le même temps, la direction de l’entreprise confirme un « projet de restructuration au niveau européen », avec des délocalisations en Hongrie, en Chine et en Inde.

En 2014, toute honte bue, Emmanuel Macron, alors ministre de l’Économie, avait défendu le rachat d’Alstom énergie par ce géant américain devant la Commission européenne de Bruxelles. Marine Le Pen l’avait dénoncé en son temps, Macron l’avait formellement nié.

Depuis, 3 000 emplois ont été supprimés en France par General Electric, soit un quart de ses effectifs et sans compter les plans sociaux en cours…

L’Usine nouvelle a annoncé récemment la suppression à venir de 753 postes, principalement dans les activités relatives aux réseaux électriques. 618 postes sont concernés dans cette branche, dont le site de Montpellier (Hérault) qui sera une fois encore durement touché.

Ce sont ainsi des milliers et des milliers d’emplois qui sont sacrifiés aujourd’hui sur l’autel du mondialisme. Seul un État stratège comme le préconise Marine Le Pen sera en mesure de sauvegarder nos emplois.

France JAMET
Député français au Parlement européen
Groupe Identité et Démocratie
Commission de l’Emploi et des Affaires Sociales
Commission de la Pêche

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