Il fallait oser ! Mais à Midi Libre, on ose tout. Les chefs d’agence changent – trois en l’espace de quatre ans… – mais la mauvaise foi et le parti pris restent les mêmes. Dernier exemple : le compte-rendu du conseil municipal de lundi soir.

Revenant sur les violences dont a été victime un journaliste de ce quotidien lors de la manifestation de samedi dernier des « Gilets jaunes », la journaliste écrit : « Un membre de son cabinet [du maire] était d’ailleurs en première ligne au moment des faits. Photographies et vidéos circulent sur les réseaux sociaux. »

Qu’est-ce à dire ? Que celui-ci participait à l’agression ? Ou du moins, la cautionnait ? Pas seulement un mensonge mais une belle petite infamie ! Si ce membre du cabinet du maire s’est rapproché du chef d’agence, c’est justement pour que celui-ci ne soit pas agressé. Ce dernier le sait parfaitement qui, le soir même, s’entretenait avec le maire, le remerciant de son appel.

Le journal Midi Libre a perdu, coup sur coup, pas moins de cinq procès intentés à la Ville pour « diffamation ». Découvrant, au passage, que la liberté de parole n’est pas réservée aux seuls journalistes. Naïvement, nous pensions que ce temps de la calomnie était révolu. Manifestement, nous nous sommes trompés. Les habitudes – et particulièrement celle de faire autre chose que du journalisme – ont la vie dure !

Tout simplement malhonnête, médiocre et minable…

Robert Ménard
Maire de Béziers

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