Si la crise sanitaire met, un peu plus à mal l’activité économique du centre-ville. Tout et son contraire, ne peuvent pas être faits pour le groupe montpelliérain d’EELV.
Pour les écologistes, il y a une évidence, « toute action de relance de l’économie doit permettre d’accélérer la transition écologique et énergétique. Car, plus que jamais, l’urgence climatique impose une relance décarbonée ! »
Une opposition à la gratuité des parkings du centre-ville, « aberration écologique et économique ».
En pratique, pour les militants, la gratuité des parkings, « aspirateurs à voitures », est « une mesure du XXe siècle ; un temps où des élus avaient un moteur thermique à la place du cerveau ».
Sur le plan économique, pour les écologistes, « le coût de cette mesure (1,7 million d’euros payés par les contribuables montpelliérains) est exorbitant au regard des impacts économiques réels sur l’activité du centre-ville ».
Les écologistes montpelliérains proposent a contrario, « la gratuité des transports publics (immédiatement le week-end, dès le vendredi midi) », le « développement des pistes cyclables » et « la création de 1000 places de stationnement vélo sécurisées pour faciliter l’accès au centre-ville avec des solutions de mobilités zéro carbone, zéro pollution ».