Dans le Gard et l’Hérault, nombreux ont été les militants à manifester « confinés », pour un 1er mai revendicatif, pour réclamer, dès aujourd’hui, des « jours d’après » plus solidaires et plus écologiques.
Pour de nombreuses associations et mouvements politiques montpelliérains, il s’agissait de « faire fleurir banderoles et pancartes aux fenêtres et aux balcons le 1er mai pour exiger des mesures de rupture capables de construire un « jour d’après » écologique et solidaire. »
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Même volonté de la part La Carmagnole, « malgré le confinement tout le monde est de sortie pour ce 1er mai confiné, mais motivé. Service public, droit du travail, protection sociale, sans-papiers, droits des femmes, retraite… une belle confluence de revendications, de mots d’ordre sur vos balcons, dans vos salons, sur vos perrons ! »
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Dans le Gard, le premier mai ne pouvait pas ne pas être revendicatif.
Dans le Gard, l’Union départementale CGT du Gard a décidé de « réussir la Journée Internationale des Travailleurs et Travailleuses sous d’autres formes » , notamment par une mobilisation sur les réseaux sociaux et en contactant les différents politiques et représentants de l’État dans le Gard.