Occitanie. Jacques Witkowski préfet de l’Hérault, avec Jean-François Moniotte sous-préfet de Lodève, ont signé la première convention d’adhésion au programme « Petites villes de demain », aux côtés des élus de la ville de Lodève et de la communauté de communes Lodévois et Larzac.
C’était la première signature sur le territoire, ce vendredi 26 mars 2021, pour le déploiement de ce programme « Petites villes de demain, » elles seront 19 communes dans l’Hérault, et 225 en Occitanie. De la rénovation du centre-ville, à l’écologie, aux circuits courts, il s’agit d’une véritable boite à outils pour les villes de moins de 20.000 habitants, avec un soutien financier, de l’ingénierie, et un partenariat pour des projets de revitalisation. « C’est l’une des réponses essentielles pour rééquilibrer le territoire, » explique Jacques Witkowski, préfet de l’Hérault. Interview.
Jacques Witkowski @Prefet34 préfet de l’Hérault, avecJean-François Moniotte, sous-préfet de Lodève signent la 1er convention d’adhésion au programme #Petitesvillesdedemain aux côtés des élus de la ville de Lodève et de la communauté de communes du Lodévois et Larzac #Occitanie pic.twitter.com/sP8ai7d3GZ
— Le Mouvement (@lemouvementinfo) March 26, 2021
[VIDEO] Interview de Jacques Witkowski, préfet de l’Hérault :
Lodève, « notre coeur de ville est un atout pour ses habitants, mais aussi pour tous les habitants du Lodevois et du Larzac » Gaëlle Lévêque maire de la ville tient aussi à préciser : « pour ce qui est de l’avenir, nous allons travailler sur les mobilités actives, les opérations de façades, avec toujours un travail de lutte contre l’insalubrité. »
« Petites villes de demain, » se veut un programme accélérateur de la relance. C’est un accompagnement sur 6 ans, et il est conçu pour soutenir 1.000 communes et intercommunalités, avec un budget de 3 Mds € jusqu’en 2026. Ce programme annoncé par l’ancien premier ministre Édouard Philippe, lors des Assises des petites villes de France, à Uzès, en septembre 2019, intervient en pleine crise sanitaire et économique à l’heure où l’Etat décide d’engager un plan de relance de 100 Mds €.