[VIDEO] Samedi 6 mars, la tête de liste écologiste de L’Occitanie Naturellement était à Montpellier pour rencontrer différentes associations. Sportives, culturelles, écologistes, sociales ou humanitaires, « les associations sont un maillon essentiel de la santé démocratique et républicaine. » Antoine Maurice le confirme : « elles seront accompagnées d’un plan régional pour renforcer les liens entre la collectivité et le monde associatif. »
Vivier d’agilité et d’innovation, les citoyens engagés dans la vie des associations sont source d’équilibre et vecteurs d’emplois. Des données prises en compte par la liste L’Occitanie Naturellement, présente sur le terrain. Le candidat à la présidence de la Région en juin prochain avait un planning riche : entre une matinée sportive, avec Montpellier Méditerranée Futsal et du FC Pas du Loup, et un après-midi vert avec l’Oasis citadine, une ferme urbaine collaborative. Sans compter une table ronde organisée au local de La Graine, association qui porte la monnaie locale. Et pour terminer, la distribution alimentaire avec l’Association Humanitaire de Montpellier.
Qualité environnementale, équité sociale, efficacité économique
Aller vers un monde durable et équitable qui permet de vivre en bonne santé et de respecter l’environnement. Réduire les inégalités et maintenir la cohésion sociale. Mettre en place une efficacité économique qui diminue l’extrême pauvreté et cherche à garantir l’emploi du plus grand nombre ; de nombreuses associations œuvrent dans cette direction, les accompagner s’inscrit dans le programme de L’Occitanie Naturellement. « Les associations sont précieuses, » explique Antoine Maurice : « c’est pour cela que nous avons proposé un grand plan régional. »
#Occitanie #Régionales Antoine Maurice tête de liste @EELV à la rencontre des associations montpelliéraines pic.twitter.com/gZuyllTfws
— Le Mouvement (@lemouvementinfo) March 6, 2021
« Les politiques publiques doivent venir démultiplier ces initiatives qui sont menées par les citoyens, » Antoine Maurice
Lorsque l’écologie contraint, on dit qu’elle est punitive, voire liberticide. Alors, comment faire pour passer de cette notion d’écologie punitive, à une notion d’écologie d’innovation ? Pour Antoine Maurice, « je crois que la punition c’est l’absence d’écologie. » Dans le tissu associatif, des propositions émergent, s’imposent par leur intelligence, « les solutions, elles existent et c’est justement en reconnaissant toutes ces pratiques qui nous permettent de faire de l’écologie une chance… de vivre mieux […] C’est une chance pour demain. Et notre enjeu, aux régionales, c’est de montrer que les politiques publiques doivent venir démultiplier ces initiatives qui sont menées par les citoyens. »
