Ce jeudi en conférence de presse Michaël Delafosse a dévoilé son deuxième engagement de campagne. Le candidat de « La Gauche qui nous rassemble » choisit la transparence et le droit de savoir pour tous les citoyens : la mise en place d’indicateurs de mesure de la qualité de l’air, dans chaque groupe scolaire de la ville.
#Montpellier #Municipales2020 après son 1er engagement sur la gratuité des transports @Delafosse2020 présente son 2e engagement, un engagement de transparence : « chaque groupe scolaire sera doté d’indicateurs de mesure de la qualité de l’air » pic.twitter.com/nTW0aoDIAg
— lemouvement.info (@lemouvementinfo) October 3, 2019
Santé et pollution de l’air, le 2e engagement de Michaël Delafosse devrait permettre de convaincre pour mieux choisir, et mieux poursuivre ou renforcer les choix engagés durant le mandat, sur un plan global qui développe toutes les mobilités : bus en site propre, pistes cyclables sécurisées, itinéraires piétons, gratuité des transports publics. Dans chaque groupe scolaire de la ville seront mis en place des indicateurs de mesure de la qualité de l’air. Avec cette mesure : « tous les relevés seront transmis aux parents d’élèves, et aux enseignants. Ces indicateurs serviront à piloter notre politique de réduction de la pollution de l’air. »
Il y a deux sortes de gouvernance : celle qui s’impose, et celle qui se partage. Grâce à une information juste, une pédagogie et une mise en place d’un travail en commun, la seconde ouvre le champ de tous les possibles. « Les Montpelliérains attendent un maire écologiste qui les fait participer, pour pouvoir rendre possible concrètement le nécessaire changement sur la qualité de l’air, » explique Michaël Delafosse.
ITW et explications avec Michaël Delafosse, candidat pour les municipales à Montpellier, tête de liste de “La Gauche qui nous rassemble” :
Urgence pour la santé de nos enfants
Pas de pincettes, l’urgence en matière de santé pour nos enfants ne mérite plus que l’on ergote ni que l’on perde trop de temps à dialoguer avec les différents lobbyistes. Pour le professeur d’endocrinologie pédiatrique, Charles Sultan : « nous vivons aujourd’hui un véritable cataclysme. » Cet expert international en santé environnementale, affirme qu’il y a une gravité du débat qui est sous-estimée, et que l’action doit se traduire politiquement le plus vite possible. C’est pour cette raison explique-t-il : « je me réjouis d’être auprès de Michaël Delafosse qui a compris que la pollution environnementale était un enjeu majeur pour la santé de l’enfant. »